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Le gouvernement ougandais envisage d’interdire les mutilations génitales féminines mais les tenants de la tradition s’y opposent, estimant qu’une telle interdiction violerait leurs droits traditionnels. Dans le cadre d’un projet de loi présenté devant le parlement, le mercredi 20 février, le gouvernement indique qu’une personne reconnue coupable de se livrer à ces pratiques sera punie d’une peine d’emprisonnement de sept à dix ans ou d’une amende d’au moins un million de shillings ougandais (environ 540 dollars).