oct 30, 2011
Alassane Ouattara et Sarkozy nourrissent le projet de traduire Laurent Gbagbo, qualifié de prisonnier ‘’encombrant’’ devant la cour pénale internationale (CPI). Mais, connaissant la CPI et son assujettissement à l’ONU, elle-même, partie prenante dans la crise ivoirienne, il y a certes des raisons de nourrir des doutes sur la partialité de cette juridiction internationale. Il semble évident que le régime Ouattara n’a pas pris la pleine mesure de ce que pourrait entrainer le transfert de Gbagbo à la CPI, fort certainement, du soutien militaire de ses alliés franco-onusiens.
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