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Environ le tiers des Zimbabwéens soumis aux sanctions ont vu leurs noms retirés de la liste de l’Union Européenne, qui espère que cette décision encouragera le gouvernement dans la mise en application des réformes démocratiques auxquelles il s'est engagé après les violences post électorales de 2008. Bien qu'il y ait eu des progrès dans l’élaboration d'une nouvelle constitution et dans la stabilisation de l'économie, l’UE demeure préoccupée. Les réformes promises dans le secteur de la sûreté nationale sont loin d’avoir été entreprises. Le président Mugabe qui va avoir 88 ans ce mois-ci, et son parti, la Zanu-PF sont au pouvoir depuis l'accession à l'indépendance de l'ancienne colonie britannique en 1980.