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Un mois jour pour jour après le scrutin présidentiel du 29 mars dont l'issue reste incertaine, le Conseil de sécurité de l'ONU se penchait mardi sur la situation au Zimbabwe, accentuant encore la pression internationale sur un pays où règne un climat de violence. Alors que le régime du président Robert Mugabe, au pouvoir depuis près de trois décennies, accusait l'opposition d'attiser les tensions, six experts de l'ONU ont dénoncé des agressions "organisées et coordonnées" et le recours à la torture contre les opposants.