fév 11, 2013
Selon Human Rights Watch, "les causes sous-jacentes de la violence électorale passée restent présentes et, dans certaines parties du pays, les tensions se sont accrues" conduisant le Kenya "vers une autre élection où le risque de violences et de violations des droits de l'Homme demeure dangereusement élevé". "La violence n'est pas inévitable, mais les signaux d'alerte sont trop lumineux pour pouvoir être ignorés", a insisté le directeur Afrique de Hrw dans un communiqué. Selon l'ONG, le gouvernement kényan "ne s'est pas attaqué aux racines de la violence politique passée, telles les abus et la corruption de la police, les hommes politiques attisant les tensions inter-ethniques et la quasi-totale impunité des auteurs de crimes graves".
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