avr 08, 2008
Les pensionnaires de Marchoux (près d'Abidjan), derniers "survivants" du premier village de lépreux en Côte d'Ivoire crient à l'abandon, oubliés selon eux, par leurs familles et les autorités publiques. "Nous sommes les derniers survivants, livrés à nous-mêmes, les familles nous ayant abandonnés", explique l'un des vingt lépreux vivant encore à "Gnankanassi"-Marchoux ("Dieu merci" en langue locale Ebrié).
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