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Les mouvements de grève se poursuivent dans les secteurs de la santé et de l’éducation, malgré les mesures du gouvernement pour calmer les esprits. A analyser de près la situation, le populisme du gouvernement et du chef de l’Etat en est la cause. Depuis son arrivée au pouvoir, le président Boni Yayi a montré aux syndicalistes qu’il y a de l’argent en quantité industrielle au Bénin, justifiant certaines revendications. Pour preuve, les dépenses sans l’autorisation de l’Assemblée nationale sont légion.