Cellou Dalein Diallo doit dorénavant faire face à plusieurs fronts s’il veut garder le cap, à la tête de l’Union des forces démocratiques de Guinée. Car, en plus des critiques acerbes émanant de son premier vice-président Amadou Oury Bah, qui n’a toujours pas digéré la défaite de son parti au scrutin présidentiel du 11 octobre, la mouvance serait, elle aussi en train de travailler en sous-main pour « déstabiliser » sans doute la base électorale du chef de l’opposition. Cellou Dalein Diallo ju...lire la suite
Cellou Dalein Diallo doit dorénavant faire face à plusieurs fronts s’il veut garder le cap, à la tête de l’Union des forces démocratiques de Guinée. Car, en plus des critiques acerbes émanant de son premier vice-président Amadou Oury Bah, qui n’a toujours pas digéré la défaite de son parti au scrutin présidentiel du 11 octobre, la mouvance serait, elle aussi en train de travailler en sous-main pour « déstabiliser » sans doute la base électorale du chef de l’opposition. Cellou Dalein Diallo jure de ne pas reconnaître les résultats du scrutin du 11 octobre, contrairement à 2010, où il avait fait contre mauvaise fortune bon cœur, en acceptant de se plier au verdict des urnes.